Nous descendons vers le Lago de Atitlán qui attire des visiteurs depuis des décennies.
Vous l’aurez compris ici il y a beaucoup plus de touristes. Cela nous déboussole un peu venant de nos montagnes de se retrouver dans une ambiance plus « balnéaire ». Mais le lago Atitlán demeure un endroit incontournable. Encadré par d’abruptes montagnes, des volcans et des villages Mayas, le lac, 8 km du nord au sud, 18 km d’est en ouest et une profondeur moyenne de 300 m, figure parmi les plus belles étendue d’eau au monde.
Les Lanchas, seul moyen de transport pour se déplacer sur le lac.Panajachel est la principale localité des bords du lac qui s’est développée de manière chaotique et au détriment de son apparence. Beaucoup d’américains tiennent les rênes de l’industrie touristique. Des groupes de touristes arrivent en bus pour quelques heures ou pour une nuit.
Nous optons plutôt pour San Pedro de la Laguna plus à l’ouest et plus sympa ... beaucoup d'ambiance à la nuit tombée (Lise, un bon endroit pour toi).
Visite du village voisin, San Juan, on croise un couple Québécois qui travail comme bénévole dans une boutique de commerce équitable. D'ailleurs pour ceux qui ont la fibre du volontariat, le Guatemala offre de nombreuses possibilités tous secteurs confondus.
Le soir, à San Pedro, oh surprise! on tombe sur un petit resto italien (tenu par des italiens, avec un chef italien), impossible de résister ... cela nous change des tortillas et frijoles.
Le lendemain, visite de Santiago et San Marcos la laguna ou nous rencontrons une jeune Belge de Bastogne qui pour subsister vend des bijoux handmade.
Joli village qui au fil du temps est devenu un centre de méditation propice aux thérapies holistiques, au massage, au joga et autres (Frédérique, on a pensé à toi).
Un petit peu d´histoire :
Le paysage actuel a été faconné il y a plusieurs milliers d'années par l'éruption de Los Chocayos. La quantité de lave expulsée provoqua l'effondrement du volcan et la formation d'un immense creux quasi circulaire qui au fil du temps s'est rempli d'eau: Le lac Atitlán était né. Plus tard d'autres volcans jaillirent des eaux : Le San Pedro (3.020 m), l'Atitlán (3.537 m) et le Tolimán (3.158 m).
Le soir, à San Pedro, oh surprise! on tombe sur un petit resto italien (tenu par des italiens, avec un chef italien), impossible de résister ... cela nous change des tortillas et frijoles.
Le lendemain, visite de Santiago et San Marcos la laguna ou nous rencontrons une jeune Belge de Bastogne qui pour subsister vend des bijoux handmade.
Joli village qui au fil du temps est devenu un centre de méditation propice aux thérapies holistiques, au massage, au joga et autres (Frédérique, on a pensé à toi).
Un petit peu d´histoire :
Le paysage actuel a été faconné il y a plusieurs milliers d'années par l'éruption de Los Chocayos. La quantité de lave expulsée provoqua l'effondrement du volcan et la formation d'un immense creux quasi circulaire qui au fil du temps s'est rempli d'eau: Le lac Atitlán était né. Plus tard d'autres volcans jaillirent des eaux : Le San Pedro (3.020 m), l'Atitlán (3.537 m) et le Tolimán (3.158 m).
